Buenos Aires (fin)

Jeudi 25 février

Plus que quelques heures !
Nous sommes au terme de ce beau voyage et ce soir, c'est soirée tango; Nous passons une délicieuse soirée dans un établissement réputé, où nous dégustons un excellent diner avant d'assister à une démonstration époustouflante de Tango.
Demain nous nous envolons pour Paris.





Buenos Aires

Dimanche 21 février

Le reste de la route pour arriver à Buenos Aires nous semble interminable. Les informations obtenues grâce à un guide touristique, nous font arriver dans un  quartier de Buenos Aires assez glauque. Le camping est en fait un asile pour vieux séniles et l’environnement est indescriptible !
C’est à Puerto Madero, un quartier nouveau au bord du Rio de la Plata,  composé en grande partie de tours de bureaux, occupé également par un parc et une grande réserve écologique, que nous irons passer la nuit. Dimanche soir : le quartier est très animé, il y a de la musique partout, les gens dansent le tango dans la rue. Les kiosques tout le long de l’esplanade servent de la viande grillée déposée dans du pain où l’on ajoute sauces et salades. C’est le Kebab argentin !

Ça y est les cigognes sont de retour

Bord de route

Ici, c'est plutôt le rock que l'on danse dans la rue

Lundi 22 février

Nous partons visiter le quartier de San Telmo, un des plus pittoresques de la ville. La température monte très vite, pour atteindre un niveau de chaleur qui nous oblige à nous réfugier dans un restaurant climatisé. Nous rejoignons notre véhicule « maison » pour y passer une nouvelle nuit au bord de la réserve écologique de Puerto Madero.

Le "Sarmiento"

Vue sur le port

Rue de B.A.

Jolie vitrine ...mosaïque

Marché de San Telmo

Typique

San Telmo


Mardi 23 Février

Mes pieds ont un peu souffert hier, à la fois de la chaleur et des kilomètres de visite urbaine. Aujourd’hui ce sera l’option visite en bus ! Les bus jaunes à deux étages communément appelés « promène couillons » vont faire l’affaire pour touristes fatigués. L’avantage c’est le système « hop off, hop on » qui permet de s’arrêter où l’on veut sur le circuit et de reprendre un bus suivant. On pourra grâce à ce bus faire un grand tour de la ville.
En fin de journée, nous allons nous installer sur un camping à La Plata, ville située au sud de Buenos Aires, pour pouvoir faire nos valises paisiblement demain.

Av. 9 de Julio

La Boca

A la Boca, le quartier très touristique ...

On dans le tango sur toute les terrasses de bistro


Sculpture géante, les pétales se referment à la nuit

Casa Rosada, on pavoise les couleurs françaises pour la visite de Hollande

Mercredi 24 février


Journée de rangement et nettoyage. On étale tout et on trie …

Derniers kms vers la capitale

Jeudi 18 février

Nous avons repris cette route indigeste qui nous mène au terme de notre voyage. Notre perspective aujourd’hui est une mer de grisaille qui n’a ni rivages, ni ligne d’horizon et qui engloutit toutes les larmes du ciel. Il pleut !
La pluie heureusement s’arrête à notre arrivée à l’étape du jour, Las Grutas. Finalement, notre bivouac sera à San Antonio Oeste, au bord de la baie, la ville balnéaire de La Grutas, ne nous offre aucun spot de nuit.
Jolie piste

Vendredi 19 février

La grande lessive terminée, nous avons ce matin un ciel limpide. Le but de notre journée est de trouver l’endroit où nous pouvons admirer les oiseaux « Loros Barranqueros », sorte de petit perroquet, qui vit dans les falaises au bord de l’océan. Pour ce faire, comme nous étions en manque, et que la désintoxication doit être progressive, nous longeons la mer par une piste très défoncée, car il a plu, mais qui nous offre sur ses 130 km des vues  magnifiques. En revanche, il faut attendre notre arrivée à El Condor, pour apercevoir enfin ces oiseaux bruyants et bigarrés, qui regagnent leurs trous à la tombée de la nuit. Mais le spectacle en valait la peine.

Le bord de mer que nous longeons aujourd'hui

C'est l'atlantique

Les oiseaux nichent dans les falaises gruyère

C'est l'heure de la marée, l'eau mont très vite

Les loros sont très rapides

Toujours par deux

Vol en formation

On regagne les trous avant la nuit

Deux jeunes

Samedi 20 février

Passé la rivière Rio Negro, nous changeons de région, la Patagonie s’arrête ici. Fini les steppes desséchées couvertes de buissons épineux où s’accrochent les moutons jusqu’à en perdre la vie. Ici, l’herbe est grasse à souhait et les immenses troupeaux bovins s’en régalent goulûment. Plus loin, un patchwork de vert, légèrement ondulé, réjouis notre regard après des jours et des jours d’herbes sèches et de buissons gris.
Les kilomètres s’égrainent tout doucement vers la fin de ce voyage. Et puis de temps en temps, un bosquet d’eucalyptus offre un peu d’ombre aux voyageurs. C’est là que nous prenons notre pause déjeuner en compagnie de charmants pics et de perruches caquetantes.  

Le bivouac du jour est à « Tres Arroyos »
Nos compagnons de picnic

Les réserves faunistiques de la côte Est

Lundi 15 février

Depuis Camarones, c’est une piste qui longe l’océan et qui nous mène à la réserve de pingouins de Punta Tombo. Cela roule bien, mais sur les 150 km de piste, nous avons rencontré, une moto et deux Pick-up. Il vaut mieux ne pas tomber en panne !
La réserve de pingouins de Punta Tombo est l’endroit de nidification de plus d’un million de manchots de Magellan. Impressionnant ! On voit des manchots à perte de vue. En février, les petits nées en fin d’année ont atteint une taille adulte et  commencent à perdre leur duvet. Dans un peu plus d’un mois la grande migration va commencer. Ils vont monter vers le nord pour trouver des eaux plus chaudes pour l’hiver.
Un peu trop de soleil pour mes petits yeux

Plan rapproché

Retour de baignade

Quelques pingouins

Même pas peur

Juvénile qui perd son duvet

Devant son terrier
Nous passons toute l’après-midi à nous promener parmi les pingouins et à nous régaler de ce spectacle. 

Mardi 16 février

Ce matin, j’ai avalé une mouche au petit-déjeuner. Nous avons dormi au bord de l’océan à Playa Escondida. L’endroit est plus que sauvage, il n’y a rien à des kilomètres à la ronde. En revanche, l’assaut donné par des nuées de mouches a quelque peu perturbé mes tartines !
Nous passons quelques heures à Puerto Madryn, la ville la plus proche de la péninsule de Valdès. De mai à décembre, des bateaux partent de ce port pour aller naviguer dans la baie où des centaines de baleines franches viennent se reproduire.
Nous allons dormir en bord de mer sur la péninsule, pour aller demain, observer lions et éléphants de mer ainsi que les orques qui rodent le long des côtes à cette époque.
Dommage on voit pas les mouches sur la photo, sinon bivouac tranquille

Elle est à vendre, Thibaut j'ai mis une option dessus pour toi.



Mercredi 17 février

La péninsule de Valdès

Inscrite au patrimoine de l’humanité de l’Unesco, cette péninsule d’environ 100 km de long accueille une faune riche, mais elle est surtout connue grâce aux baleines qui viennent y mettre bas. En février les baleines franches australes sont reparties, mais on peut observer d’immenses colonies de lions de mer et les bébés tout justes nés. Des pingouins, des éléphants de mer, des renards, des tatous, des guanacos, des nandous, des oiseaux de toutes sortes font parties de l’observation. En revanche, pas d’orques, plus difficiles à apercevoir, nous n’aurons pas eu cette chance.   
Le harem, avec le mâle à droite

Dodo contre maman


Monsieur et Madame (au premier plan)

Éléphants de mer

Tatou

Zorro (renard)

L'heure de la tétée

La nurserie

Encore l'heure de la tétée